Dre Sonia Marcone a complété un doctorat en psychologie, profil scientifique-professionnel (Ph.D./Psy.D.), à l’Université du Québec à Montréal en 2018. Sa thèse doctorale portait sur les troubles de la mémoire prospective dans le vieillissement pathologique, particulièrement chez les personnes atteintes d’un trouble comportemental en sommeil paradoxal et/ou de maladies neurodégénératives à début précoce. Les résultats de ses travaux de recherche ont été présentés dans plusieurs congrès régionaux et internationaux de même que publiés dans le Canadian Journal of Neurological Sciences et The Clinical Neuropsychologist. Elle a parallèlement effectué sa formation clinique en milieu hospitalier, soit au Centre universitaire de l’Université de Montréal (CHUM) et à l’Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal, auprès d’une population variée, notamment en traumatologie, en gériatrie, en psychiatrie et en médecine générale.

Membre de l’Ordre des psychologues du Québec et de l’Association québécoise des neuropsychologues, Dre Marcone a d’abord débuté sa carrière en cabinet privé tout en s’intégrant progressivement dans le réseau public, travaillant à la fois en réadaptation au Centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie-Ouest et en recherche clinique au Centre d’études avancées en médecine du sommeil de l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal. Elle a par ailleurs également été chargée de cours à l’Université du Québec à Montréal. Dre Marcone est ensuite devenue membre de l’Ordre des psychologues de l’Ontario et a travaillé en tant que neuropsychologue clinicienne à l’Hôpital d’Ottawa. Elle est de retour à temps plein à Montréal, travaillant auprès d’une population adulte à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Depuis l’automne 2021, Dre Marcone excerce le rôle de superviseure auprès de doctorants en neuropsychologie à l’UQÀM.  

En plus d’exercer sa profession en milieu hospitalier, Dre Marcone continue à offrir des services bilingues au privé auprès d’une clientèle adulte et gériatrique. L’ensemble de ses expériences lui ont permis de raffiner ses compétences professionnelles et d’être une clinicienne habiletée dans l’évaluation de plusieurs problématiques, incluant le trouble du déficit de l’attention, les traumatismes crâniocérébrales, les accidents cérébrovasculaires, les maladies neurodégénératives à début précoce (p.ex., maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson, démence vasculaire, etc.) de même que dans l’évaluation des troubles cognitifs acquis associés à toute autre cause vasculaire, métabolique, virale, tumorale et psychiatrique.